mardi 3 juin 2014

Faux sucres, zéro calorie, mais à quel prix ?



Faux sucres, zéro calorie, mais à quel prix ? France 5, 2013
Utilisés massivement pour remplacer le sucre, les édulcorants dits "intenses" sont devenus un outil incontournable de l'industrie agro-alimentaire. Depuis que le poids est devenu une préoccupation, ces substituts affichant zéro calorie sont présents partout : plus de 6000 produits alimentaires et médicaments contiennent aujourd'hui de l'aspartame, l'édulcorant chimique le plus utilisé au monde. Mais la molécule fait polémique. Plusieurs études démontrent que sa consommation présente des risques potentiels pour la santé. Une plante sud-américaine, la stévia, naturellement très riche en sucre, fait aujourd'hui office d'or vert et pourrait remplacer les édulcorants. L'industrie a-t-elle trouvé là un produit miracle ? Une enquête de Christel Bertrand adaptée par Franck Istasse.
Source : France 5



La monde doux-amer des faux sucres (A bon entendeur, RTS, 2011)

A l’Efsa, c’est Noël en avance pour l’aspartame (11.12.2013)
Pour l’aspartame, l’année 2013 s’achève comme elle a débuté: avec le même avis rassurant de l’autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), mais toujours sous les huées des associations.
Rien de bien surprenant dans l’avis définitif publié le 10 décembre par l’Efsa: sa version préliminaire avait été rendue publique en janvier (voir le JDSA). Comme en début d’année, l’Efsa continue à penser que l’édulcorant ne pose aucun problème de toxicité aux niveaux actuels d’exposition, et qu’il n’y a donc pas lieu de modifier sa dose journalière admissible (DJA), de 40 milligrammes par kilo de poids corporel.
Son verdict repose sur une copieuse littérature scientifique, mais de qualité très variable -et ce dans les deux camps: selon l’Efsa, il y a au final de quoi blanchir les trois métabolites de l’aspartame (phénylalanine, acide aspartique, méthanol) et ses divers produits de dégradation, concernant le risque de cancer, le fonctionnement cérébral, ou le développement fœtal.
Présent lors d’une audition organisée par l’Efsa début avril, le réseau Environnement Santé (RES) se montre mécontent de cet avis final, se demandant dans un communiqué «combien de temps la fraude va encore durer». Premier grief des opposants à l’aspartame, sa DJA repose sur des études menées en 1973-74 par l’industrie, qui n’ont pas fait l’objet d’une évaluation indépendante par des pairs, et dont la qualité est jugée très douteuse.
Source (et suite du texte) : Journal de l'environnement

Edulcorants: l’advantame autorisé en Europe et aux Etats-Unis (21.05.2014)
Déjà très controversé, l’aspartame vient d’être rejoint par son petit cousin l’advantame, que la Commission européenne a autorisé par un règlement du 14 mai. Une décision également prise, le 19 mai, par la Food and Drug Administration (FDA) aux Etats-Unis.
Source (et suite) du texte : Journal de l'environnement


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